Un jour, un joueur : Anthony Gill

L’espoir et le basket font leurs retours dans la capitale américaine alors que nos Washington Wizards abordent la saison 2025-2026 avec un effectif profondément renouvelé, alliant de jeunes promesses et des cadres expérimentés.

Dans la continuité de la saison dernière, nos petits sorciers vont essayer de franchir un cap et trouver une véritable identité et pour cela rien de mieux que d’analyser chaque jour jusqu’à la reprise officielle un joueur de notre effectif.

Montez à bord du tank feutré et doré (à l’image de notre maillot City Edition) de Brian Keefe, il y a de la place pour tout le monde ! Installez vous confortablement, sirotez votre cocktail préféré avec quelques cacahuètes et détendez vous, c’est important, car après le 22 octobre ça ne sera surement pas la croisière s’amuse !

Aujourd’hui, coup de projecteur sur Anthony Gill, c’est parti !

Sa saison dernière

Cinquième saison pour le padre du vestiaire et pas grand-chose à dire. Plus faibles statistiques de sa carrière sur tous les plans. Très peu de minutes donc très peu de tout en soi mais un état d’esprit toujours exemplaire et c’est cela qu’on attend de lui. Véritable facilitateur du vestiaire, premier supporter de l’ensemble du roster et très présent en dehors du terrain.

On a cru qu’il ne survivrait pas à l’inter-saison car d’abord écarté de la rotation, il a rapidement fait son retour pour enchainer une sixième saison.

Qu’attendre pour cette nouvelle saison ?

Qu’il pose le genou au sol et qu’il applaudisse ses camarades voilà tout. Peut-être que cette saison sera synonyme de dernière danse pour lui. Si cela était le cas, nous espérons qu’une place dans l’organigramme l’attend ce qui serait amplement mérité tellement sa loyauté et son état d’esprit sont louables.

Sa place dans le roster

Dernier joueur de la rotation, à moins qu’il y ait une hécatombe sur les postes intérieurs dans le cours de la saison, mais franchement on n’espère pas.

Notre bon vieil Anthony sera là à accompagner les joueurs encore une fois cette saison et le numéro 16 sera surement visible lors des garbages time. A moins qu’il soit pulvérisé dans le cinq toute la saison et qu’il devienne Giannis mais même dans nos rêves les plus fous (et alcoolisés) cela n’arrivera pas.

Rendez-vous demain pour analyser une paire de ressorts installées sur un joueur (c’est quelque chose d’assez rare), gogo gadgeto AJ Johnson !

Jules Gesnouin