Un jour, un joueur : Corey Kispert
- washingtonwizardsf
- 11 oct.
- 3 min de lecture

L’espoir et le basket font leurs retours dans la capitale américaine alors que nos Washington Wizards abordent la saison 2025-2026 avec un effectif profondément renouvelé, alliant de jeunes promesses et des cadres expérimentés.
Dans la continuité de la saison dernière, nos petits sorciers vont essayer de franchir un cap et trouver une véritable identité et pour cela rien de mieux que d’analyser chaque jour jusqu’à la reprise officielle un joueur de notre effectif.
Montez à bord du tank feutré et doré (à l’image de notre maillot City Edition) de Brian Keefe, il y a de la place pour tout le monde ! Installez vous confortablement, sirotez votre cocktail préféré avec quelques cacahuètes et détendez vous, c’est important, car après le 22 octobre ça ne sera surement pas la croisière s’amuse !
Aujourd’hui, coup de projecteur sur Corey Kispert, c’est parti !
Sa saison dernière
Décevante ! Clairement en-deçà des attentes que nous pouvions avoir pour lui et de ce nouveau contrat signé en début de saison. Beaucoup de temps avant de se mettre en rythme et accrocher le bon wagon, beaucoup de déchets au shoot et une défense quasi inexistante. Corey a d’ailleurs terminé la saison avec ses plus bas pourcentages au tir et à trois points depuis son arrivée dans la grande ligue. Peu d’impact en sortie de banc et un rôle de sixième homme bien trop lisse pour dynamiser quoi que ce soit en second-unit.
Des passages à vide assez fréquent comme le prouvent certains matchs : 1/10 au tir face au Heat début novembre (dont 0/6 à trois points), 3/11 au tir face à Chicago fin novembre (dont 1/8 à trois points), 1/10 face aux Pels début janvier (dont 0/7 à trois points) ou même face à Orlando fin février avec 3/12 au tir (dont 1/6 à trois points). On ne va pas tous les énumérer mais preuve que la saison fut loin des attentes. A côté de cela, quelques flashs (mais pas de quoi perdre son permis de conduire) comme face à Houston le 8 janvier avec 23 points ou contre les Pacers le 13 février avec 21 points.
Qu’attendre pour cette nouvelle saison ?
On prie des deux mains pour que son shoot revienne et qu’il redevienne un tireur longue distance fiable et constant. Car il s’agit clairement de sa plus grande arme et que sans cela son intérêt à être sur le parquet demeure être faible. Si, pour notre plus grand bonheur, il pouvait bosser un petit peu sa défense ça serait un énorme plus mais on doute qu’il commence à bosser cet aspect à l’aube de sa cinquième saison.
Sa place dans le roster
Son rôle de sixième homme risque fortement d’être bousculé par la concurrence présente dans l’équipe et on pourrait facilement s’attendre à ce qu’il soit légèrement rétrogradé dans la hiérarchie. Pour autant, s’il retrouve son shoot (à trois points surtout) il peut devenir ou redevenir un sub extrêmement intéressant pour le roster. De plus, il pourrait se trouver être une monnaie d’échange précieuse à la trade deadline, au regard de son contrat peu cher et des atouts qu’il possède dans sa gâchette (si celle-ci ne reste pas rouillée).
Fiabilité et régularité seront les mots à se répéter chaque soir avant de se coucher le soir et le matin en brossant sa moustache. Sans cela, il y a de grandes chances qu’il s’agisse de la dernière année du côté de Poudlard pour notre numéro 24 surtout quand on regarde le jeune vivier qui toque à la porte derrière. On huile ce shoot s’il te plait Corey, sinon ton surnom de Corey Casper reviendra tambour battant.
Rendez-vous demain pour analyser notre nouveau numéro 3, rempli d’expérience et de bons conseils pour notre jeune pousse, CJ McCollum !
Jules Gesnouin




L’article Un jour, un joueur : Corey Kispert dresse un portrait lucide et plein d’humour du jeune ailier des Washington Wizards. L’auteur y mêle passion et réalisme en évoquant les hauts et les bas du joueur, entre espoir de renouveau et incertitude sur son avenir dans l’effectif. Ce ton à la fois critique et bienveillant reflète l’esprit du site https://www.mur-en-scene.fr/, où chaque élément de décoration est choisi avec soin pour créer un équilibre entre esthétique et personnalité.
L’analyse du jeu de Corey Kispert montre combien la constance et la confiance sont essentielles, dans le sport comme dans la vie. Retrouver son geste, son rythme, c’est un peu comme redonner de la lumière à un espace intérieur. Sur https://www.mur-en-scene.fr/, cette même recherche…